Stéphanie Moulin

Scientifique | Toxicologue | Danseuse | Radiéstologue

Passionnée par le mouvement et la danse, Stéphanie est dans une recherche permanente à se former, à enseigner et à créer.

• Créatrice de l’Association Ambr’uns en 2006, j’encourage et participe à des partenariats et
• Rencontres avec d’autres formes d’art, par exemple : atelier de création et mise en
• Mouvement de masque en cuir, atelier de danse et d’art d’être à cheval.
• Je suis co-fondatrice de l’association Ellan biodynamique à Lyon, en 2016.
• Je suis membre du conseil international de la danse (CID).

TRAVAUX ARTISTIQUES /CREATIONS :

Qui entend le Jargon de l’oie (2007) : Lecture de haïku de et par Anne-Lise Blanchard avec accompagnement chorégraphique de Stéphanie Moulin.

L’histoire de Mushkil Gusha (2010), D’après un conte persan plusieurs fois millénaire. Stéphanie Moulin (danse, narration) et François « FD’A» Dumont d’Ayot (saxophones, clarinettes, flûtes )

Hymne Végétal (2010), hommage aux arbres et aux cycle des saisons. Création danse qui rend hommage au végétal par la danse et accompagnement musical de Cyril Sixdeniers (percussions).

Le sable et l’écume (2012), d’après des poèmes choisis de Kalil Gibran. Estampies Poétiques pour un nouvel espace de rencontre entre la Danse de Stéphanie Moulin, leur lecture par Martine Meirieu et leur transcription Musicale par François Dumont d’Ayot.

Les artistes dans une rencontre des mots et de ce qu'ils viennent réveiller en nous ont choisis de nous faire entrer dans la vibration gracieuse et légère privilégiant comme l'auteur l'universalité de l'instant.

L’aube de la Terre (2015), d’après le livre de Wilfried N’sondé, le silence des esprits, mise en scéne de l’oeuvre par Martine Meirieu (lecture), François Dumont d’Ayot (Musique) et Stéphanie Moulin (danse) - «Dans un train de banlieue, une femme un peu trop seule rencontre un jeune Africain. Avec douceur et compassion elle perçoit en lui l’angoisse et la peur, comprend qu’il n’a pas de papiers, lui offre sa confiance, son hospitalité, écoute le récit de sa vie et oublie, entre ses bras, sa propre souffrance... »

L’invasion des danseuses (2015) : Guglielmo Pinna crée depuis plus d’une dizaine d’années des sculptures de danseuses avec des journaux venant de tous les pays du monde. Un jour il écrit leur histoire, c’est « L’invasion des danseuses ». Dans un lieu peuplé de ces sculptures en papier, en équilibre sur des fils, sur le sol, sur des arbres évoluent des danseuses, accompagné de musique et chant Guglielmo Pinna (lithophones, ses harpes du vent), Dimitri Zambragkis (instruments à corde et chant). Et de 3 comédiennes qui lisent l’histoire de ce personnage en plusieurs langues : français, italien, espagnol et peut être arabe et grec ancien.

«Quand elles arrivent, elles choisissent un espace et le remplissent de légèreté. Elles semblent voler, quand elles arrêtent leur mouvement à mi hauteur, suspendues sur des fils invisibles »...

«j’ai du vent dans la tête » 2016 : danse, musique et théâtre avec la compagnie EOLO avec des personnes porteuses de handicap.

Danser les mots, hommage à Guillaume Apollinaire (2018) : Projet qui rend hommage à Guillaume Apollinaire, à partir de 17 de ces poèmes lus par Gregory Parreira, et dansés par 4 danseurs, avec un accompagnement musical : Dimitri Zambragkis (instruments à cordes) et Antoine Bourgeau (percussion).

La fée aux gros yeux de George Sand (2019) : Chorégraphie théâtralisée, sur un conte empreint de mystère, de poésie, dans un cadre bucolique, tous les sens en éveil, surtout celui de la vue, avec la chauve souris frayeur de notre enfance, les papillons et autres insectes, plaisirs de la douceur volante. Des personnages d’une présence forte, étrange, des types sociaux, empreints de poésie et de singularité. Passage incessant entre la réalité, le rêve et la féerie. Histoire d’une fillette et de son étrange gouvernante.

Conte écrit par une femme engagée, une grand-mère conteuse qui nous interpelle sur les mystères de la nuit et les lois de l’univers... 4 danseuses, 2 narrateurs.

MINA (2020) : Mina, l’histoire d’une femme enfermée qui nous questionne sur la liberté ! Interprétée par Martine Meirieu, auteure et narratrice et Stéphanie Moulin, danseuse - Écrit pendant le confinement en mars 2020.

Formée en danse classique, contemporaine – Ecoles privées

Danse sacrée du Sama‘a (derviche tourneur) après de Javad Tehranian de 2001 à 2010

Formation en danse thérapie :

Danse de l’être auprès de Fabienne Courmont – diplomée en 2011

Danse Biodynamique auprès de Rafael Baile – diplomée en 2015

Autres pratiques complémentaires :

- Eutonie auprès de Anne-Lise Blanchard

- Yoga du son auprès de Véronique et Denis Fargeot

"Mon parcours et mon approche sensible du corps, amène les participants de mes ateliers et stages en douceur et subtilité dans la danse comme une évidence. L’énergie du mouvement, et la structure corporelle sont les moteurs de mon accompagnement pour amener vers la danse. J’aide les personnes à développer leur créativité et libérer leur expressivité.

Dans mes créations je privilégie le poème chorégraphique en utilisant la danse comme support d’expression de la vibration des mots."

EXPERIENCE :

Interventions auprès de structures :

• Associations, MJC, écoles primaires, écoles de danse en animation d’atelier et de cours de danse,
• Centre anti-douleur de l’hôpital Saint-Jean de Dieu sous forme de cycles d’atelier ou la danse est utilisée pour soulager les douleurs physiques et psychiques,
• Intervention au sein de l’association Equiliance, pour préparer le corps à la médiation équine